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Gérard Godfroy travaille sur ses premiers dessins et maquettes. D'emblée, le trait des Venturi est figé !

Si la Venturi a évolué vers les GT haut de gamme, ses deux concepteurs Claude Poiraud et Gérard Godfroy avait installé au départ un moteur de Golf GTI.

Un châssis poutre complété de tôles d'aciers pliées assurent à la Venturi une rigidité exceptionnelle, indispensable à une tenue de route excellente.


La Peugeot 505 Turbo va ensuite servir de donneuse d'organes pour la mécanique. Mais son moteur ne sera pas assez noble et progressif pour convenir à une GT haut de gamme...


Finalement, c'est le V6 PRV à manetons décalés de la 25 V6 Turbo, mais aussi de l'Alpine V6 Turbo qui va motoriser la belle GT Française.

 
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>PRELUDE A LA NAISSANCE D'UNE GT (Part. 1)
"Rien que d'y penser cela fait rêver" était à une époque le slogan publicitaire de Disneyland Paris. Le rapport avec Venturi ? Ce slogan a du traverser l'esprit de financiers visionnaires et passionnés d'automobiles d'exceptions en découvrant la première voiture des créateurs de Venturi au Salon de l'automobile de Paris en octobre 1984. Cet élégant petit coupé faisait de l'oeil au public. Il représentait un nombre incalculable de nuits blanches pour ses deux créateurs et concepteurs, Gérard Godfroy et

Claude Poiraud. Le premier nommé était l'homme du style et le second le technicien. Tous les deux travaillaient chez Heuliez et avaient décidé de rouler dans leur propre création. La Ventury, qui s'écrivait alors avec un "y" ne devait pas être produite. Juste deux exemplaires pour les deux amis. Mais la voiture était si séduisante que des financiers passionnés d'automobile d'exception, en ont décidé autrement en imaginant les choses de manière plus ambitieuses et n'eurent pas trop de difficultés à convaincre les deux concepteurs. Le plus sérieux et le plus passionné d'entre s'appelait Hervé Boulan. Il réunit les fonds nécéssaires et devint alors à la mi-85 le premier PDG de la Manufacture de Voiture de Sport, MVS, un sigle qui ornera les voitures jusqu'en 1990. Car le projet Ventury, sous l'impulsion d'Hervé Boulan, est devenu Venturi, avec un "I" comme Ferrari. Il est persuadé qu'il faut donner de l'envergure à la voiture, mieux la motoriser et lui donner un intérieur luxueux.

Ainsi replaçons nous au départ de cette aventure: l'origine de la mécanique importait peu à l'époque pour les deux amis. Ils pensaient même à un moteur quatre cylindres de Golf GTI ou même au nouveau petit Peugeot 1600 d'une trempe similaire. Le premier équipant d'ailleurs le modèle présenté au Salon de Paris. Mais avec l'arrivée des financiers, le projet devint plus ambitieux. Ces deux mécaniques, quoique performantes dans leur catégorie, durent être écartées, leurs concepteurs ne souhaitant pas réaliser un "remake" de la Matra Murena: belle, originale mais sous motorisée. Il fallait absolument trouver une puissance abondante afin de ne pas limiter le potentiel de performance de la voiture. Mais en 1985 la seule mécanique française véritablement puissante était le quatre cylindres turbocompressé de la Peugeot 505 Turbo: un moteur de 200 chevaux avec le kit Peugeot mais lourd, gourmand et dépourvu de noblesse. Jean Rondeau ouvrit les portes de son atelier pour acceuillir le développement du prototype. Ce premier prototype roulant, de conception très classique, construit autour du quatre cylindres turbocompressé Peugeot, laissait entrevoir un potentiel intéressant. Mais la mécanique ne fonctionnait pas très bien, et les trains roulants qui reprenaient un maximum d'éléments de série (un système pseudo McPherson avait été retenu) ne furent pas non plus très performants.

Ces deux problèmes furent résolus de la manière suivante: avec l'arrivée de l'Alpine GTA V6 Turbo et son moteur V6 PRV (Peugeot Renault Volvo) de 200 chevaux, Venturi réussi à obtenir de la Française de Mécanique la livraison des ensembles moteurs/boite de la nouvelle Alpine. La puissance était toujours de 200 chevaux, accompagnée d'une garantie Renault pour le moteur et la boite de vitesse, et le couple plus abondant et la noblesse d'un six cylindres convenaient mieux au standing recherché et à l'attente de la clientèle concernée. Quand au principe McPherson, il fut abandonné au profit de triangles à bras multiples beaucoup plus sophistiqués mais plus spécifiques et surtout beaucoup plus efficaces. En effet le principe initial (McPherson) avoua ses limites: frottements de la jambe de force trop importants, perturbants l'adhérence, géométrie imparfaite lors du débattement de la roue, etc.
L'architecture de la Venturi est intéressante. En effet, le moteur est en position longitudinale comme sur la Renault 25 Turbo sauf qu'il est placé en avant des roues arrières, l'implantation la plus noble qui soit en matière d'automobile française. C'est une architecture dérivée des voitures conçues pour la course. Le changement de mécanique ne posa aucuns problèmes pour le dessin du chassis en raison d'un dessin au départ d'un chassis original et mixte de Claude Poiraud. Les années que ce dernier passa à Dieppe chez Alpine lui avait fait découvrir les bienfaits d'un chassis à poutre centrale. Il reprit ce principe mais en y apportant une touche personnelle et un certain raffinement. La poutre centrale, par laquelle passe l'essentiel des contraintes, est renforcée par des caissons, ce qui procure vraiment à ce chassis une résistance à la torsion exceptionnelle.

>>Lire la suite de l'histoire de Venturi : la partie 2 -> Montée en puissance...

 
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